J’écris depuis que je suis tout petit-petit. Je me rappelle qu’en 6ème, je disais vouloir devenir écrivain. J’avais alors commencé la rédaction d’un roman à la qualité douteuse, mais qui me plaisait et dont j’étais fier. C’est l’essentiel !

Lors de ma première année de lycée, suite à une rupture, j’ai écrit mon premier poème. Et ça a très vite pris une place importante dans ma vie. Au lycée, j’écrivais surtout en cours ; ma productivité a donc bien chuté lors de mon entrée à la fac !

Gamin, j’aimais bien dessiner (et travailler la terre en faisant de la poterie). Mais ça s’est vite essoufflé. J’ai recommencé à griffonner à la fin du collège (2009), où j’ai fait quelques-unes de mes « Caricatural faces », avant de m’arrêter presque aussitôt. C’est environ à la même période que j’ai eu mon premier appareil photo. Depuis lors, j’en prends de manière très irrégulière : j’ai tendance à ne jamais y penser, mais dès lors que mon appareil est de sortie, je m’émerveille de tout et pour un rien, et je me transforme en véritable touriste chinois ! *zvooom clic clic flash zvooom*

À la fin du lycée (2013), j’ai eu envie de peindre. Ça a commencé avec de l’aquarelle et de l’acrylique, sur papier rigide. Peu de temps après, à ma rentrée universitaire, j’ai arrêté principalement par faute de place. Depuis, mes occasions de peindre sont peu nombreuses, mais j’y prends toujours du plaisir.

À la fin de ma licence de Psychologie (2016), lors d’un séjour en Inde, j’ai soudainement commencé à dessiner des boucles d’oreille… Et ça m’a beaucoup plu. J’en ai ensuite fait faire deux paires, et je sens que c’est probablement le début d’une nouvelle aventure…

Dernièrement, l’envie de dessiner avec des feutres à calligraphie m’est venue. Je m’accorde rarement ce plaisir, mais lorsque je m’y mets c’est toujours un moment libérateur pour moi.

Je suis toujours à la recherche de nouveaux médias à explorer, lorsque le temps et les moyens le permettent, et lorsqu’une opportunité se présente !

Bref, je n’ai pas vraiment de connaissances techniques dans les disciplines citées précédemment, et je les ai bien moins pratiquées que l’écriture ; mais je prends plaisir à m’exprimer au travers de ces médias, et à partager mes découvertes avec vous !

Je pratique le plus souvent l’écriture automatique ou semi-automatique (j’écris comme ça vient mais je réfléchis tout de même généralement à la tournure de mes phrases) mais mes inspirations sont multiples.

Parmi les poètes qui m’ont le plus inspiré, je pourrais notamment citer Charles Baudelaire et Victor Hugo (lorsque j’étais au lycée surtout). Il y a aussi Christian Bobin, qui réussit toujours à me toucher en plein cœur. Depuis quelques années, ce sont aussi certains paroliers contemporains qui m’inspirent, tels que Fabien Marsay (Grand Corps Malade), Keny Arkana, Bertrand Cantat (Détroit), Damien Saez, et d’autres.

Parmi les romanciers que je trouve les plus inspirants, je citerais notamment Alain Damasio, Denis Marquet et Mathias Malzieu, dont les œuvres me semblent toutes, à leur manière, empreintes de poésie.

La musique, enfin, est une belle source d’inspiration lorsque je la laisse me porter…

Aussi étonnant que cela puisse paraître, bien que j’aime écrire, j’ai un peu de mal avec la lecture. Non pas que ça me déplaise, mais je trouve souvent assez difficile de rentrer dans l’ouvrage et, si j’y parviens, il faut que je lise sans discontinuer. Mettre en pause ma lecture 2 ou 3 jours signe souvent un arrêt définitif. En résulte que je lis peu… Ce qui ne m’empêche pas de trouver quelques ouvrages absolument fabuleux ! Mes genres préférés étant la Science-Fiction et la Fantasy.

Parmi mes ouvrages préférés, je pense notamment à :

• La Zone du Dehors et La Horde du Contrevent, d’Alain Damasio (Science-Fiction).
• La Planète des Fous, de Denis Marquet (Inclassable).
• Le Pacte des March’Ombres, de Pierre Bottero (Fantasy).
• La Fin de Satan, de Victor Hugo (Poème initiatique).
• L’Enchantement simple et toutes les oeuvres de Christian Bobin que j’ai pu lire à ce jour (Poésie inspirée).
• La Cantatrice Chauve, d’Eugène Ionesco (Théâtre de l’absurde).

Oulalalalala, vaste question à laquelle il m’est difficile de répondre en quelques mots ! Auroville est un lieu superbe de contrastes et de paradoxes… Je peux simplement dire qu’avec du recul, je trouve que mon enfance y a été magique. Quant à donner un avis sur Auroville, c’est plus compliqué que de dire « c’est génial » ou « sapuduku« . Le plus simple, si ça vous intéresse, c’est qu’on en parle directement…

Et qui sait, peut-être qu’un jour, je posterai ici des articles à ce sujet ! (Oui, bon, j’avoue. En fait, c’est prévu. Patience…)

Zabada-plotor. En référence à un vieil ami.