Merci !
Merci pour votre présence et votre lecture ! J’espère de tout cœur que les quelques fragments de vie que je partage ici sauront vous toucher, ou trouver une forme de résonance en vous. Et que ces quelques échos sauront créer un dialogue entre nos âmes.
La symbolique est jolie, mais je trouve que l’automne, bien que souvent associé au processus de mort, à la mélancolie, n’est pas négatif pour autant. Personnellement, je trouve que c’est une saison de couleurs, de mue, et si le phénix devait être une saison ce serait celle-ci : mourir pour revivre.
C’est un poème post-romantique ceci dit ♪
Je suis bien d’accord :) Mais pour rentrer dans le débat, il est aussi vrai que selon moi, comme chaque mot, chaque saison ou chaque chose, « automne » renvoie à du positif ainsi qu’à du négatif. Disons simplement que là, je n’ai exploité qu’une seule des deux faces du mot, parce qu’elle collait à ce que je voulais exprimer, ce qui n’enlève rien au positif qu’a l’automne. C’est une saison que j’apprécie, donc je ne saurais dire qu’elle ne renvoie qu’aux processus que tu as cité : le terme recoupe, dans l’absolu, une sémantique bien plus large ! :D
Il est vrai que si l’été et l’hiver sont des saisons à solstice que je considère comme des « extrêmes », l’automne et le printemps, saisons à équinoxes, sont comme des périodes de « tempèrement » (ce mot n’existe pas mais je n’en trouve pas d’autre, na!) où les giboulées sont nombreuses et où la vie et la mort sont omniprésentes.
Donc cela rejoint ton idée des « deux faces » du mot. (il me semble d’ailleurs que je les avais exploité de mon côté dans un quatrain…)
Oui, tout à fait ! Après, l’hiver comme l’été ont aussi ces deux faces et cette vaste sémantique, malgré leur nature d’extrêmes :)
Enfin, de mon point de vue !